C’est la même paire d’auteurs du Petit vocabulaire de la déroute scolaire qui avait publié quelques
mois auparavant ce livre, dont le titre s’inspirait sans vergogne de L’horreur économique, un essai à grand
succès de Viviane Forrester paru en 1996.
Le seul des deux que je connais, c’est Guy Morel. Et je n'en dirai pas plus car on toucherait rapidement le fond. Les initiés comprendront...
Le livre dont il est question montre à quel point les élèves
sont des imbéciles qui ne savent rien.
À qui la faute ? Certainement pas à ces élèves, mais plutôt aux enseignants qui ne leur ont rien appris, ou pas grand-chose, ou de travers. Se moquer des élèves quand on est collectivement responsable de leurs ignorances et de leurs inaptitudes, c’est faire preuve d’une arrogance mal placée. Mais il est vrai qu’en matière de mépris, Morel n’a de leçon à recevoir de personne.
À qui la faute ? Certainement pas à ces élèves, mais plutôt aux enseignants qui ne leur ont rien appris, ou pas grand-chose, ou de travers. Se moquer des élèves quand on est collectivement responsable de leurs ignorances et de leurs inaptitudes, c’est faire preuve d’une arrogance mal placée. Mais il est vrai qu’en matière de mépris, Morel n’a de leçon à recevoir de personne.
Tout le monde n’a pas le
talent de Jean-Charles et l'humour de sa Foire aux cancres.
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Guy MOREL, Daniel TUAL-LOIZEAU
Ramsay, 245 p