tag:blogger.com,1999:blog-10044755463042332102024-02-23T08:43:32.903+01:00Pour une pédagogie renouvelée Renouveler la pédagogie avec un enseignement explicite et structuré, instructionniste, vraiment moderne et efficace. Faire connaître et reconnaître le nouveau courant de la Pédagogie Explicite.Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.comBlogger307125tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-36750225050583588192024-02-09T08:51:00.001+01:002024-02-09T08:51:21.209+01:00Durée des ministres de l'Éducation nationale<p style="text-align: center;"> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgRLWChew1rh4K6A4NdsYCp5gqBzZ60L-SuMC4rUjvYtrCFnwUReicj3D3Vvmeue9l1F7TgB3cFXmdmiswckHje7qPaJbeNBNiUVq8mwDlXLtPqMQ6DD-3qhSKFZ96nGCrBuYt2vhRP1X6TXDeIM3j-sQnynFHalaDku8PmVrVRPjzQxHbrcbMG6ZCiB6S/s888/9.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="583" data-original-width="888" height="263" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgRLWChew1rh4K6A4NdsYCp5gqBzZ60L-SuMC4rUjvYtrCFnwUReicj3D3Vvmeue9l1F7TgB3cFXmdmiswckHje7qPaJbeNBNiUVq8mwDlXLtPqMQ6DD-3qhSKFZ96nGCrBuYt2vhRP1X6TXDeIM3j-sQnynFHalaDku8PmVrVRPjzQxHbrcbMG6ZCiB6S/w400-h263/9.jpg" width="400" /></a></div><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-88918216707156795562024-01-12T08:46:00.003+01:002024-01-12T08:46:24.462+01:00Durée des ministres de l'Éducation nationale<p style="text-align: center;"> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhKcPvxB2zLTnB5rGPaAFqRNngrufhdTpmIlkYsuqo4JX3mnVNX8i2Bz9cnUYcvWuorNWBp1KUI3wr_Imns3Q3-mzxVlzznwvYwuocZNi1nU99xTuFcxWzRi2OAdoOPHawsX9R0iP0ol2BUZwZEfAi9ZnsZMJE0Xaq-pyvETsAo6p0TerxBk520UgrL6Em/s888/2.JPEG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="585" data-original-width="888" height="264" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhKcPvxB2zLTnB5rGPaAFqRNngrufhdTpmIlkYsuqo4JX3mnVNX8i2Bz9cnUYcvWuorNWBp1KUI3wr_Imns3Q3-mzxVlzznwvYwuocZNi1nU99xTuFcxWzRi2OAdoOPHawsX9R0iP0ol2BUZwZEfAi9ZnsZMJE0Xaq-pyvETsAo6p0TerxBk520UgrL6Em/w400-h264/2.JPEG" width="400" /></a></div><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-44768663296924334022023-04-25T09:00:00.002+02:002023-04-25T09:00:11.577+02:00La grande déconstruction de l'éducation (Nicolas Baverez)<p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"> <span style="font-size: x-small;">Source : <i>Le Figaro</i>, 24.04.2023</span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><span style="font-size: x-small;"><br /></span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4OFpLtTVygPpijEWQu3GM1XxNpHwgu8E3sPOLDHzaTcAWcLPYlkCaNSK9zZv1zK9buD7naGcjxWfsU03mrTMXqV9V-1BfEpspqsfUAdjs_w2H22vuxqftCSb9arH0SCE3JctxLDqlLxeKw14CkNrBotRG7p1g60ptc0czejd4rS6Y2cHmzAbC7EAOBw/s900/5.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="900" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4OFpLtTVygPpijEWQu3GM1XxNpHwgu8E3sPOLDHzaTcAWcLPYlkCaNSK9zZv1zK9buD7naGcjxWfsU03mrTMXqV9V-1BfEpspqsfUAdjs_w2H22vuxqftCSb9arH0SCE3JctxLDqlLxeKw14CkNrBotRG7p1g60ptc0czejd4rS6Y2cHmzAbC7EAOBw/w200-h200/5.jpg" width="200" /></a></span></div><span style="font-family: verdana;"><br /><span style="font-size: x-small;"><br /></span></span><p></p><p><span style="color: windowtext; font-family: verdana;">L'effondrement
du système éducatif contribue à expliquer le vertigineux décrochage de la
France. La crise est devenue systémique. Elle se traduit en premier lieu par la
chute des performances. La France ne cesse de reculer dans le classement Pisa,
passant depuis 2000 des 15</span><sup style="color: windowtext; font-family: verdana;">e</sup><span style="color: windowtext; font-family: verdana;"> et 11</span><sup style="color: windowtext; font-family: verdana;">e</sup><span style="color: windowtext; font-family: verdana;"> rangs aux 23</span><sup style="color: windowtext; font-family: verdana;">e</sup><span style="color: windowtext; font-family: verdana;">
et 25</span><sup style="color: windowtext; font-family: verdana;">e</sup><span style="color: windowtext; font-family: verdana;"> en lecture et en mathématiques : plus de 40 % des collégiens
de sixième ne maîtrisent ni la lecture, ni l'écriture, ni le calcul. Elle
touche aussi les enseignants, avec, d'un côté, la progression des démissions et
la pénurie des recrutements, et, de l'autre, l'écroulement de leur niveau. Elle
comporte une dimension sociétale, avec la montée des inégalités, mais aussi
l'explosion de la violence dans les établissements scolaires, qu'il s'agisse de
rixes entre élèves, de harcèlement ou d'agressions contre les professeurs, avec
pour dernière illustration le meurtre d'une enseignante d'espagnol à
Saint-Jean-de-Luz. Elle se transforme en faillite intellectuelle et morale avec
la remise en cause des valeurs de la République.</span></p><p>
</p><p class="MsoNormal"><span style="color: windowtext;"><span style="font-family: verdana;">Le
naufrage éducatif français ne trouve pas son origine dans le manque de moyens,
puisque le budget s'élève à 60,2 milliards d'euros pour 12 millions d'écoliers
et lycéens. Au total, la France consacre 5,2 % de son PIB à l'enseignement
scolaire, ce qui est au-dessus de la moyenne de l'OCDE (4,9 %). Les raisons
sont à chercher dans une centralisation paralysante et l'absence d'autonomie
des établissements, dans la rigidité du statut des enseignants, l'insuffisance
de leur formation et le décrochage de leur rémunération (- 28 % en termes réels
de 1982 à 2018), dans la diminution drastique des heures d'enseignements
fondamentaux, dans la rupture avec la transmission des connaissances et
l'éthique du travail au profit de l'empathie envers les élèves et de la
satisfaction des familles dans une logique consumériste.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="color: windowtext;"><span style="font-family: verdana;">Emmanuel
Macron a donné un formidable coup d'accélérateur à la déconstruction de
l'Éducation nationale en actant la substitution de l'objectif de la mixité
sociale à la transmission des connaissances et en euthanasiant le mérite pour
le remplacer par les algorithmes. Le dédoublement des classes en CP dans les
zones prioritaires et la relance de l'apprentissage ont permis des progrès dans
l'apprentissage de la lecture et dans la lutte contre le chômage des jeunes.
Mais leurs effets ont été annihilés par la désastreuse réforme du lycée qui a
fait éclater les classes et a détruit l'enseignement des mathématiques et des
sciences ainsi que par la liquidation des filières et des établissements
d'excellence.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="color: windowtext;"><span style="font-family: verdana;">Pap
Ndiaye a été nommé pour donner le coup de grâce à l'école républicaine, ce dont
il s'acquitte avec une remarquable efficacité. Alors que dans le monde entier,
le succès de l'enseignement est fondé sur des établissements autonomes
disposant d'un projet et d'une capacité à choisir leurs enseignants et leurs
élèves, ce sont les algorithmes qui décident de tout dans notre pays. Ceci
permet d'imposer en toute opacité et avec une fausse objectivité la
discrimination positive et de supprimer toute prise en compte du travail et des
résultats des élèves. Face à l'effondrement du secteur public, le choix est
assumé non de le redresser mais d'étendre aux établissements privés les
recettes de sa faillite. Comble du cynisme, le Conseil des sages de la laïcité,
organisme indépendant qui veillait à la sauvegarde des principes républicains
et soutenait les communautés éducatives, est dévoyé pour être transformé en un
instrument de communication du ministre au service de la diffusion du wokisme
et de la lutte contre le « racisme systémique ». Le tout est acheté par une
revalorisation du salaire des enseignants qui va mobiliser 5 milliards d'euros
par an sans aucun effet sur la qualité de l'enseignement.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="color: windowtext;"><span style="font-family: verdana;">Le
résultat de cette politique est connu. L'effondrement généralisé des établissements
publics et privés sous contrat se traduira par l'essor du privé hors contrat et
des études à l'étranger, accessibles aux seuls enfants des familles les plus
favorisées - clivage qui va devenir déterminant dans la jeunesse et la
population et qui fera définitivement éclater la nation. Le plus grand nombre
sera voué à l'ignorance, à l'inculture et à la déqualification tout en accédant
à des diplômes réduits à des chiffons de papier. Avec pour conséquences des
emplois déqualifiés, l'accumulation d'un formidable ressentiment social nourri
par ce grand mensonge éducatif, la flambée des populismes.<o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="color: windowtext;"><span style="font-family: verdana;">La
déconstruction de l'Éducation nationale est en tout point comparable à la
décomposition de notre système de santé, où l'objectif du reste à charge zéro a
tué l'accès aux soins et leur qualité. Il n'existe pas de solution à la crise
démocratique sans remise en marche de l'éducation. Et il n'existe pas de
solution à la crise de l'éducation sans sa reconstruction autour de la
transmission des connaissances, de la reconnaissance du travail – pour les
élèves comme pour les enseignants –, du respect des valeurs universelles de la
République.<o:p></o:p></span></span></p><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-81532703500708599002022-12-12T18:20:00.005+01:002022-12-12T18:20:32.069+01:00Le niveau des professeurs des écoles en chute libre<p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"> <span style="font-size: x-small;">Source : <i>Valeurs Actuelles</i></span></span></p><p style="text-align: center;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglJzHJWYdcUSbqa2QYZjmbw58zgnUjVNFZeiv-3nwp2_s-bgy94xx64FLbSfz1kPd9SO8eLVEt8CYEl-_rZKM1DdR0k-QTaW3eP680WE-RImRASS55_5hZ4M4M-KYUhJbgO1u4LzA2mUhgfeDMAvV9x5dvTQsv4JWkTzgnqyMAncRNbgmg_D27vBqK-A/s5000/2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3333" data-original-width="5000" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglJzHJWYdcUSbqa2QYZjmbw58zgnUjVNFZeiv-3nwp2_s-bgy94xx64FLbSfz1kPd9SO8eLVEt8CYEl-_rZKM1DdR0k-QTaW3eP680WE-RImRASS55_5hZ4M4M-KYUhJbgO1u4LzA2mUhgfeDMAvV9x5dvTQsv4JWkTzgnqyMAncRNbgmg_D27vBqK-A/w400-h266/2.jpg" width="400" /></a></div><br /><p></p><p></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Des professeurs des écoles <i>« incultes »</i> ?
C’est le jugement sévère qu’émet le jury des professeurs des écoles à la suite
de la publication des résultats du concours validant le recrutement des
enseignants du primaire. Ainsi, <i>Marianne</i> se fait l’écho, le 9 décembre,
des nombreux recteurs d’académie qui déplorent une baisse généralisée du niveau
des professeurs des écoles.<br />
<br />
Dans leurs rapports, les correcteurs dénoncent le manque inquiétant de manque
de culture générale des candidats ainsi que leurs nombreuses lacunes en
orthographe, mathématiques, ou l’utilisation fréquente de références
douteuses. <i>« Très peu de candidats citent des sources qui
permettraient de démontrer une culture personnelle</i>, déplore le rapport
de l’académie de Lille. <i>Certains le font en se trompant d’auteur, en
citant une émission de télé-réalité ou des dessins animés de Disney. Une petite
minorité est en mesure de citer quelques lectures personnelles. »</i><br />
<br />
Les correcteurs s’étonnent également<i> « du manque de maîtrise de la
langue française »</i>, relevant <i>« énormément d’erreurs orthographiques,
des fautes de syntaxe et des expressions familières »</i>, indique le même
rapport.<i> « La ponctuation est absente de certaines copies, les
virgules, d’une manière générale, sont peu utilisées. » Marianne</i>
cite ainsi l’exemple du mot<i> </i>“chancelant”, que <i>« très
peu de candidats »</i> sont en mesure de définir et d’utiliser à bon
escient, <i>« au grand étonnement des correcteurs, puisque le contexte
était fortement aidant »</i>.<br />
<br />
La majorité des candidats de l’académie de Lille relient cet adjectif (qui
signifie “vacillant”) au radical “chance” ou “chant”. Pour sa part, le jury de
Besançon fustige <i>« les mots familiers tels que “cool” »</i>, qui<i>
« n’ont pas lieu d’apparaître dans une copie de concours qui vise à
recruter de futurs experts qui auront en charge d’enseigner la langue française
aux plus jeunes élèves »</i>. <br />
<br />
Dans la cité phocéenne, les candidats obtiennent une moyenne générale de 1,84
sur 4 pour la partie <i>« lexique et compréhension lexicale »</i>.
Dans une note consultée par <i>Marianne</i>, le jury explique que<i> « le
point faible des candidats demeure le lexique. Cela avait déjà été observé
l’année dernière, mais le constat est à nouveau alarmant cette année, en
atteste la moyenne obtenue à cette partie »</i>. Les correcteurs se
montrent très sévères et fustigent <i>« l’inculture littéraire et
artistique de nombre de candidats »</i>. <br />
<br />
Alors que la France fait mine de vouloir se réindustrialiser, la maîtrise des
mathématiques par les candidats est quelque peu… chancelante. Le jury de
Besançon note même que <i>« le nombre de copies affichant des non-réponses
est en nette augmentation »,</i> alors que le sujet est jugé <i>« accessible »</i>
et que les <i>« formules de calcul sont données »</i>. Les
résultats médiocres des aspirants professeurs interrogent les correcteurs <i>« sur
la qualité de maîtrise par les candidats des contenus des programmes de
l’épreuve et des notions mathématiques convoquées »</i>.<br />
<br />
Des relâchements dans la maîtrise de la langue se font également sentir,
puisque <i>« des expressions familières, une grande impropriété lexicale,
une langue pauvre, au lexique répétitif et sans pertinence, ainsi qu’une
mauvaise orthographe »</i> parsèment les copies de mathématiques.
L’académie de Strasbourg note ainsi que de <i>« très nombreux candidats ne
connaissent pas la définition d’un nombre décimal ».</i><o:p></o:p></span></p><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-27843038302891644792022-10-26T19:17:00.015+02:002024-01-12T08:51:58.128+01:00Livre : L'envers de l'école inclusive (Magali Jeancler)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjD3omBw3OxwbUSZfsFx8xPzrFQQVfuXqM_7AHbKmwdyXce_99C2KMxdWZMO40CPZss5q7u2ESlZym57dtomewuGFW3km6pw8If4-CUh318FSiSx-c3UFad5id26395dZdRZg8awEmoz3ZrR8TU5_8mh-W7iU_zu1nUTqzj3L9V2guoFtarQS7O5R3P4VJ1/s1000/3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1000" data-original-width="682" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjD3omBw3OxwbUSZfsFx8xPzrFQQVfuXqM_7AHbKmwdyXce_99C2KMxdWZMO40CPZss5q7u2ESlZym57dtomewuGFW3km6pw8If4-CUh318FSiSx-c3UFad5id26395dZdRZg8awEmoz3ZrR8TU5_8mh-W7iU_zu1nUTqzj3L9V2guoFtarQS7O5R3P4VJ1/s320/3.jpg" width="218" /></a></div><p style="text-align: center;"><br /></p><p style="text-align: left;"><span style="color: #343434; font-size: 15.0149px;"><span style="font-family: verdana;">L’une des évolutions importantes de l</span></span><span style="color: #343434; font-family: verdana; font-size: 15.0149px;">a politique scolaire est ce que l’on appelle « l’école inclusive », c’est-à-dire l’intégration dans les classes normales d’enfants souffrant de handicaps divers, autrefois confiés aux classes ou institutions spécialisées. Noble idée, mais dont la mise en œuvre ne va pas sans soulever de considérables problèmes. Magali Jeancler, professeure des écoles, a acquis, au fil des années, une expérience fournie des difficultés auxquelles se heurte cette démarche d’inclusion. Elle les expose dans ce livre, en mêlant témoignage et analyse, avec un souci d’humanité servi par une langue limpide, qui rend son texte poignant. C’est une plongée dans la boîte noire qu’est devenue l’institution scolaire qui laisse le lecteur sur une impression de vertige, tant il montre combien nous sommes ignorants des réalités d’un univers que nous pensions familier.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana; font-size: medium;"><a href="https://storage.googleapis.com/cantookhub-media-eden/9f/0e2b4d5b9feafe77d70d7f5c406d9b06fa1571.pdf" target="_blank">Feuilleter le livre</a></span></p><p style="text-align: center;"><br /></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-35049146235279870902022-10-08T08:49:00.003+02:002022-10-08T08:49:47.526+02:00[Entretien] Jean-François Braunstein : “Le wokisme est une attaque délibérée contre toutes les valeurs des Lumières”<p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"> <iframe sandbox="allow-popups allow-scripts allow-modals allow-forms allow-same-origin" style="width:120px;height:240px;" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no" frameborder="0" src="//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ss&ref=as_ss_li_til&ad_type=product_link&tracking_id=formapex-21&language=fr_FR&marketplace=amazon®ion=FR&placement=2246830311&asins=2246830311&linkId=4be8fc5bf0f5f58cd9f649f5777399a1&show_border=true&link_opens_in_new_window=true"></iframe></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana; font-size: x-small;">Source : <i>Valeurs Actuelles</i>, n° 4479</span></p><p align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">L’INCORRECT<o:p></o:p></span></p><p align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: 16.0pt;"><span style="font-family: verdana;">[Entretien] Jean-François Braunstein : “Le wokisme est
une attaque délibérée contre toutes les valeurs des Lumières”<o:p></o:p></span></span></p><p align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: verdana;">Venue des États-Unis, une idéologie hostile à la
science cherche à s'imposer, alerte Jean-François Braunstein. Entretien.<o:p></o:p></span></span></p><p align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">Par Anne-Laure
Debaecker<o:p></o:p></span></p><p align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><br /></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b><i>Iel est là-bas, je vais lea chercher</i>, <i>«
les mathsrationalité » </i>veut tout emporter sur son passage et <i>«
l’idéologie </i>woke <i>n’est pas qu’un snobisme passager et sans
conséquences », </i>avertit Jean-François Braunstein dans un essai fouillé
et très clair. Le philosophe, essayiste et professeur émérite de philosophie à
l’université Panthéon-Sorbonne, analyse comment une idée devenue dogme séduit
universitaires et penseurs. Il révèle une terrible déconstruction de la pensée
sous prétexte de justice sociale, à travers la théorie du genre et la théorie
critique de la race. L’intellectuel, mis à l’index pour ses prises de position,
s’appuie sur de nombreux textes et thèses pour dénoncer un endoctrinement qui
fait rompre avec le réel. Un ouvrage essentiel</b>.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Valeurs
actuelles. Au mois d’août, une affiche du Planning familial représentant
deux hommes en couple dont un “enceint” suscitait la polémique. Qu’en
pensez-vous </b>?<br />
<b>Jean-François Braunstein. </b>Le Planning familial était une
institution dédiée à la lutte pour l’avortement et la contraception. Or, prise
en main par des militants radicaux, elle est devenue une officine <i>woke</i> en
prétendant que les genres sont interchangeables. Outre cette affiche, le
Planning familial a publié un “lexique” hallucinant expliquant, par exemple,
que le pénis n’est pas un organe masculin.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Ce qui
est inquiétant, c’est que la ministre déléguée chargée de l’Égalité
entre les femmes et les hommes ait soutenu le Planning familial, sous prétexte
que refuser l’affirmation selon laquelle un homme peut être enceint est
transphobe, alors qu’il s’agit du b.a.-ba de la réalité biologique. Ce qui est
également préoccupant est que le Planning familial fait partie des associations
habilitées à intervenir dans les écoles pour des formations sur la sexualité et
risque d’y diffuser ces idées absurdes. Avec cette affiche, on a le résumé de
la théorie du genre, cette volonté de substituer à la réalité biologique une
réalité fondée sur les seules consciences. Si je suis une femme mais que je
décide d’être un homme, alors je le suis et tout le monde doit faire comme si
je l’étais. C’est très destructeur car cela suppose qu’on nie la biologie et
qu’on efface le monde réel.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Pourquoi
la théorie du genre est-elle au cœur de la pensée <i>woke </i></b>?<br />
D’abord, parce que c’est la première à être apparue et qu’elle sert de modèle
aux autres théories <i>wok</i>e. Ensuite, parce qu’elle a une visée
universelle : elle peut être exportée dans tous les pays, dès lors que l’on y
distingue les hommes et les femmes, alors que la théorie critique de la race ou
la théorie décoloniale ne valent que pour des pays concernés par ces questions.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Plus
profondément, ce qui séduit dans la théorie du genre,
c’est la promesse d’une émancipation ultime, celle du corps. Ce qui compte
essentiellement est la conscience : on peut décider qu’elle est dans le mauvais
corps et qu’il faut donc changer le corps plutôt que la conscience. Le corps
est considéré comme négligeable, comme dans la gnose, cette hérésie chrétienne
du IIe siècle qui estimait que le corps, c’est le mal dont il faut se libérer.
On retrouve ici certains traits du transhumanisme contemporain qui pense que le
corps est de la “viande” et qu’il est urgent que la conscience s’en débarrasse.
On entre ainsi dans un monde d’illusion auquel il nous est demandé d’adhérer.
Si cela peut se concevoir pour des adultes consentants, il n’est pas admissible
que l’on demande à des enfants d’aller contre le témoignage des sens et le
langage, en nommant homme celui qui est femme ou inversement.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Ce qui
est particulièrement inquiétant est que ce monde d’illusion généré par la théorie du genre colle parfaitement avec le monde virtuel de l’Internet, où l’on peut changer
d’identité d’un simple clic. Le Covid a d’ailleurs accentué cette perte de
contact avec la réalité. Et le <i>business model</i> cynique des
Gafam vise à proposer le monde virtuel du <i>metaverse</i> à tous
ceux qui ont des “vies pauvres, tristes et sans intérêt”, en réservant le
“privilège de réalité” aux élites.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Il y
a un paradoxe dans le “wokisme” : la théorie du genre veut faire primer la
culture sur la nature, or la théorie de la race se focalise sur un élément de
la nature, la couleur de peau. Comment expliquer cette incohérence </b>?<br />
C’est effectivement étonnant
car, suivant la logique de la théorie
du genre, on devrait pouvoir se déclarer
d’une autre race comme on se
déclare d’un autre sexe. Mais ce
changement-là est
inacceptable car, pour les <i>woke</i>s,
le fait d’être noir est la victimisation ultime. Un Blanc qui voudrait être
noir, comme dans l’affaire Rachel Dolezal, c’est selon eux une plaisanterie
indigne. De plus, alors que le changement de genre est individuel, le
changement de race conduirait à remettre en question non pas seulement un
individu, mais une race opprimée.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Vous
évoquez des aspects religieux et mystiques. Pourquoi choisir le terme de
religion pour parler du wokisme, notamment dans le titre de votre essai </b>?<br />
Le terme “religion” s’est imposé à moi face à l’enthousiasme et à l’exaltation
des <i>woke</i>s, dans les universités notamment. Leur prosélytisme, leur
refus de l’argumentation, leur rejet des “impurs” m’ont rappelé les aspects les
plus négatifs d’une religion. Les <i>woke</i>s, c’est-à-dire les
“éveillés”, ont le sentiment de voir du jour au lendemain le monde autrement,
et de détenir une nouvelle vérité qui périme toutes les vieilles croyances.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Je ne
comprenais pas que des collègues
érudits et cultivés aient pu, du jour au lendemain,
professer que les mathématiques sont racistes et virilistes ou que la biologie
n’est pas une science. Je crois avoir trouvé une explication dans la formule
fameuse de Tertullien, Père de l’Église du IIIe siècle : <i>« Je crois
parce que c’est absurde. »</i> Le wokisme, en professant des idées
absurdes, tient lieu de nouvelle croyance dans un monde où les religions
traditionnelles ont disparu.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Empreint
de puritanisme, de manichéisme, serait-ce une forme de protestantisme </b>?<br />
Le wokisme évoque en effet les “réveils religieux” protestants américains des XVIIIe et XIXe
siècles, qui portent un regard très pessimiste sur un monde dominé par le mal.
Chez les <i>wokes,</i> l’équivalent du péché originel est le
“privilège blanc”, mais c’est un péché sans pardon possible. Il n’est pas
possible d’effacer la “blanchité”, on peut juste devenir “moins blanc”. De
fait, tous les auteurs de la théorie critique de la race sont très pessimistes,
notamment Ibram X. Kendi qui compare le racisme à un cancer qu’on ne peut
espérer guérir. Le wokisme ressemble aussi aux sectes protestantes américaines
par ses grandes cérémonies pénitentielles où les hommes blancs s’agenouillent
ou lavent les pieds d’hommes noirs. La mort de George Floyd a quelquefois été
décrite comme une passion analogue à celle du Christ…<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Quel
rôle joue la science dans le wokisme </b>?<br />
La pensée <i>woke</i> est largement hostile à la science. La
théorie du genre est la première à s’en prendre à la science biologique, qui
serait paternaliste et sexiste. On en revient à Lyssenko, en Union soviétique,
qui estimait qu’il y avait une “science bourgeoise” et une “science
prolétarienne”. Quant aux mathématiques, elles sont accusées d’être virilistes
et racistes. Un grand mathématicien américain d’origine roumaine, Sergiu
Klainerman, juge l’idéologie <i>woke</i> plus nuisible que le
communisme qui laissait les mathématiciens travailler en paix.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Les <i>wokes</i> développent
même une critique radicale de la connaissance scientifique, l’“épistémologie du
point de vue”. Selon cette philosophie des sciences, il n’y a pas de
connaissance objective, tout savoir est “situé” et dépend de conditions de
race, de genre ou de classe. On ne peut donc espérer accéder à la vérité. Ils
critiquent toutes les valeurs des Lumières, comme l’idée d’une humanité
abstraite, d’un individu autonome et d’un progrès de la connaissance.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Dans
les universités, les
disciplines traditionnelles sont remplacées par des “études” de genre, de race,
etc. qui se caractérisent par leur unanimisme et leur refus de toute pensée
dissidente. Ainsi, si l’on est biologiste et que l’on pense que les sexes
existent, on ne pourra pas enseigner dans un département d’études de genre.
Comme l’a dit Bret Weinstein, professeur de biologie américain, qui fut le seul
à s’opposer à l’emprise <i>woke</i> dans son université d’Evergreen,
l’Université ne vise plus alors à transmettre le savoir et à apprendre à penser
librement, mais à “blanchir des idées” : en faisant transiter des idées
absurdes par l’Université, on leur donne une caution et une légitimité.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Ainsi,
vous expliquez que la particularité et la force de cette religion sont qu’elle
vient de l’Université</b>…<br />
C’est en effet la première fois qu’une religion naît dans les
universités. L’Université du XIXe siècle était fondée sur les Lumières et sur
la critique rationnelle. Elle proposait une approche rationnelle de tous les
phénomènes et pouvait nous mettre en garde contre des religions aberrantes,
comme la religion <i>wok</i>e, qui est une attaque délibérée contre toutes
les valeurs des Lumières, notamment le rationalisme. Le problème tient à ce
que, dans la mesure où cette religion <i>woke</i> est née au sein des
universités, on voit mal d’où pourront venir les critiques.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Peut-on
considérer que cette pensée <i>woke </i>est une pensée élitaire, un
délire d’intellectuels </b>?<br />
C’est une religion des élites, venue des universités américaines de l’Ivy
League, qui est devenue aujourd’hui la religion des grandes entreprises, des
médias et des Gafam, notamment avec leurs politiques de “diversité, équité,
inclusion”. Le psychologue Rob Henderson explique le caractère élitaire du
wokisme : alors qu’à l’ère de la consommation de masse la détention d’objets de
luxe se répand, le moyen de se distinguer, pour les gens les plus favorisés,
est d’afficher des “croyances de luxe”, croyances déconnectées ou absurdes. Il
faut, par exemple, vivre dans des quartiers ultra-sécurisés et ne jamais
prendre les transports en commun pour parler de “définancer la police”, comme
le font les <i>woke</i>s.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>Les
contestataires sont là, d’autant que les personnes de couleur et les femmes
sont les perdantes du wokisme</b>…<br />
Beaucoup d’écrivains ou d’universitaires noirs américains, comme Thomas Chatterton
Williams ou John McWhorter, sont les premiers critiques du wokisme, car ils
n’acceptent pas d’être traités comme de simples victimes du racisme. Ils
veulent être reconnus comme des individus, qui ne sont pas le simple résultat
de persécutions qu’ils ont subies, ou n’ont pas subies. Ils refusent que l’on
enseigne à leurs enfants qu’ils sont des victimes alors qu’eux-mêmes sont la
preuve du contraire. Je cite ce parent d’élève de couleur qui s’insurge que
l’on enseigne à son fils qu’il est une victime alors que lui-même ne l’est en
aucun cas. Les femmes aussi, en premier lieu les lesbiennes, sont de plus en
plus effacées par les militants transgenres qui veulent imposer leur nouveau
vocabulaire où l’on ne parle plus de “femmes enceintes” mais de “personnes
enceintes”. Le mot “femme” devient un mot que l’on efface progressivement et
que l’on ne sait plus définir, comme cette juge de la Cour suprême américaine
qui n’a pas voulu lui donner de définition, arguant qu’elle n’était pas
biologiste.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b><i>«
Cette folie communautariste </i>[…] <i>pourrait paradoxalement
laisser un espoir de sortie de cette course à la victimisation et au communautarisme
» </i>: pourquoi ? Comment lutter </b>?<br />
D’une certaine manière, toutes ces revendications communautaires peuvent être
appelées à se contredire. Il y a déjà des conflits entre décoloniaux de
diverses origines, entre lesbiennes et trans… Mais le véritable espoir serait
que les “gens ordinaires”, comme dirait Orwell, se rendent compte de la folie
ambiante et s’efforcent de réagir rapidement.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">La
menace est insidieuse mais elle est réelle
et d’envergure. Nous ne
sommes pas près d’être débarrassés de
la religion <i>wok</i>e.
Elle se déploie grâce à nos lâchetés et nos dénis, il est temps de retrouver
notre courage et de lui dire non.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;">
</p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><b>La Religion woke,</b> <i>de Jean-François
Braunstein, Grasset, 288 pages, 20,90 €</i>.<o:p></o:p></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><br /></span></p><p>
<br /></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-7224905625430442322022-08-27T17:41:00.005+02:002022-08-27T17:41:59.658+02:00Quelle est la meilleure méthode pour enseigner ?<p style="text-align: center;"> <iframe frameborder="no" height="180" scrolling="no" seamless="" src="https://share.transistor.fm/e/108f83c9" width="100%"></iframe></p><p><br /></p><p></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Existe-t-il une meilleure méthode pédagogique pour aider les
élèves à apprendre ? Et si oui, laquelle ? Une réponse importante à cette
question nous vient de l’Américain Siegfried Engelmann. Il a développé une
méthode appelée "Instruction directe", qui s’est avérée supérieure
aux autres lors d’une étude longitudinale menée aux États-Unis pendant dix ans
sur 200 000 élèves. Et pourtant cette méthode n’a jamais été adoptée dans les
écoles du Québec. Pourquoi ?</span><o:p></o:p></p><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-82492915474641628742022-07-17T14:04:00.004+02:002022-07-17T14:04:27.089+02:00Inclusion des enfants handicapés dans les classes ordinaires<p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"> </span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIWmblpZkp6XiozFGufXQyBj_cWJb1OXIF0ZitOi3iFODXI5QEMxV1emMiezzA6gPAHRD6-8cnTksmW4wHnprEOGeKieIySpHlSJBdvp3206xgcFPr5K9J_ExdOWk-JsWImd4b3YIOxwR173cC-8KD6kv34_VsErFioN9kLlG009koSjppwkqmqt0xnw/s1004/8.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="651" data-original-width="1004" height="259" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIWmblpZkp6XiozFGufXQyBj_cWJb1OXIF0ZitOi3iFODXI5QEMxV1emMiezzA6gPAHRD6-8cnTksmW4wHnprEOGeKieIySpHlSJBdvp3206xgcFPr5K9J_ExdOWk-JsWImd4b3YIOxwR173cC-8KD6kv34_VsErFioN9kLlG009koSjppwkqmqt0xnw/w400-h259/8.jpg" width="400" /></a></span></div><p></p><p><span style="font-family: verdana;"><br /></span></p><p><span style="font-family: verdana;">Il y a quinze ans, l'Autriche nous a donné l'exemple de ce que deviennent dans la réalité les bons sentiments affichés pour justifier l'inclusion des enfants handicapés dans les classes ordinaires.</span></p><p><span style="font-family: verdana;">Extrait d'un article paru dans le <i>Monde de l'éducation</i> (février 2007) :</span></p><p></p><p class="MsoNormal" style="background: white; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana;"><span style="color: black; mso-bidi-font-size: 10.0pt; mso-color-alt: windowtext;"></span></span></p><blockquote><p class="MsoNormal" style="background: white; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana;"><span style="color: black; mso-bidi-font-size: 10.0pt; mso-color-alt: windowtext;">Ce
climat et ses effets bénéfiques n'ont malheureusement pas résisté à la généralisation.
Devenue loi après avoir été projet pilote, l'intégration des enfants handicapés
a été victime de son succès auprès des familles, l'engouement ne bénéficiant
pas des moyens financiers adéquats. D'où le regret émis par la présidente de la
fédération des parents d'élèves, Ilse Schmid, pour qui la loi <i>« équivaut
parfois à une simple présence physique des enfants handicapés dans les
classes ».</i></span><span style="mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="background: white; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana;"><span style="color: black; mso-bidi-font-size: 10.0pt; mso-color-alt: windowtext;">Les enseignants ont une vision encore
plus pessimiste. <i>« Aujourd'hui, nous arrivons à des situations extrêmes. Certains
enseignants se retrouvent seuls dans des classes de 30 élèves avec 5 ou 6
handicapés. Plus personne ne tire parti de cette intégration. Ni les enfants
handicapés, qui ne peuvent plus être stimulés, ni les autres, qui finissent
par souffrir d'un retard dans leur programme scolaire », </i>dénonce Martin
Wiedmann, président du syndicat enseignant GÖD.</span><span style="mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="background: white; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana;"><span style="color: black; mso-bidi-font-size: 10.0pt; mso-color-alt: windowtext;">Herbert Buchebner, inspecteur de
l'éducation spécialisée, reconnaît qu'il ne dispose pas du budget nécessaire
pour mettre en œuvre cette politique d'intégration. <i>« La faute en est au
coefficient de dotation en enseignants spécialisés, non pas indexé sur le
nombre d'enfants handicapés mais sur le chiffre global d'élèves. Le paradoxe
est que nous conjuguons une baisse de la natalité avec une hausse des
dépistages précoces des handicaps. »</i></span><span style="mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="background: white; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana;"><span style="color: black; mso-bidi-font-size: 10.0pt; mso-color-alt: windowtext;">Il en est de même pour la prise en
charge des soins qui diffère selon les communes. « <i>Il arrive que les
enseignants doivent eux-mêmes procéder aux soins d'hygiène, une situation plus
que délicate quand les enfants ont des sondes ! », </i>fustige le représentant
syndical rappelant que l'âge moyen des enseignants autrichiens est de... 50
ans.</span></span></p></blockquote><p class="MsoNormal" style="background: white; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana;"><span style="color: black; mso-bidi-font-size: 10.0pt; mso-color-alt: windowtext;"></span><span style="mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><o:p></o:p></span></span></p><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-32210321965730233502022-06-09T09:25:00.003+02:002022-06-09T09:26:13.114+02:00Éric Zemmour : « Ma lettre aux parents français »<p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><span style="font-size: x-small;">Source : <a href="https://www.lefigaro.fr/vox/politique/eric-zemmour-ma-lettre-aux-parents-francais-20220608" target="_blank">Figaro Vox</a></span></span></p>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4KxmlDzMyLyTlWaXVfHFEeBbmNG3dLkjNRNN8EDZ4jabhbGKDUiiUd_sXkl6_r4ymnXfM8ZNeiDNQLM2I-quGdJ7X88VCUFjCIHnSjerxp07MZ2Hqw8GvniWeSuHilIwf0d8v54kywO-uEOgT-kYqG2jdfBPLQs_34z110Ozgb4titTjqs-MkawtXjQ/s400/Logo%20Reconqu%C3%AAte%20!.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4KxmlDzMyLyTlWaXVfHFEeBbmNG3dLkjNRNN8EDZ4jabhbGKDUiiUd_sXkl6_r4ymnXfM8ZNeiDNQLM2I-quGdJ7X88VCUFjCIHnSjerxp07MZ2Hqw8GvniWeSuHilIwf0d8v54kywO-uEOgT-kYqG2jdfBPLQs_34z110Ozgb4titTjqs-MkawtXjQ/w200-h200/Logo%20Reconqu%C3%AAte%20!.jpg" width="200" /></a></div>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">En fin d'après-midi,
votre enfant rentre de l'école. Vous lui demandez ce qu'il a appris pendant la
journée. Et voici ce qu'il vous répond… <o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><i></i></p><blockquote><i><span style="font-family: verdana;">« J'ai appris que la
France est un pays raciste, colonialiste et islamophobe. C'est un pays qui était
autrefois dirigé par des rois catholiques qui étaient des dictateurs.
Heureusement, la Révolution leur a coupé la tête. Mais, depuis, les
réactionnaires et les extrêmes tentent d'empêcher le progrès. J'ai appris que
la chasse, la consommation de viande et toutes les traditions paysannes doivent
être interdites pour être remplacées par des éoliennes. J'ai appris que la
prospérité est une mauvaise chose, et qu'il faut abolir le commerce pour sauver
la planète. J'ai appris que les riches sont coupables de tout. La France est un
pays où les patrons réduisent leurs salariés en esclavage. J'ai appris que
l'islam est autant une religion française que le christianisme, et que ce sont
les parents des immigrés qui se sont battus pour la France en 1914 et l'ont reconstruite
après 1945. J'ai appris que les femmes sont les victimes des hommes, qui sont
tous des violeurs. J'ai aussi appris que je peux changer de sexe si je veux,
parce qu'on ne naît ni fille, ni garçon. » <o:p></o:p></span></i></blockquote><p></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">Vous savez que j'exagère
à peine, hélas ! L'enfant que je vous décris, c'est parfois votre enfant. Il
croit à toutes ces folies depuis que les idéologues de gauche ont pris le
pouvoir dans l'Éducation nationale il y a trente ans. Il y croira encore
davantage avec la nomination de Pap Ndiaye au poste de ministre de l'Éducation
nationale. <o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">Disons les choses
clairement : l'enfant, le vrai, est apolitique. Dieu merci, il s'occupe de
sujets enfantins, et il laisse les grands débats aux grandes personnes. Mais
cet enfant-là, le vôtre, la gauche n'en veut pas. Elle veut des enfants
politisés, robotisés, fanatisés, de petits révolutionnaires comme il y en eut
sous tous les régimes totalitaires, aux cerveaux lavés par l'idéologie, des
enfants pessimistes, revanchards, prêts à dénoncer leurs parents s'ils ne se
soumettent pas à la pensée obligatoire. La gauche veut que vos enfants soient
des militants de gauche, voire même d'extrême gauche, des militants
antiracistes, immigrationnistes, des écologistes radicaux, “gender fluid” et
furieusement anti-Français. Si vos enfants deviennent tout cela, ils ne seront
plus vos enfants, et ils ne seront plus des enfants. <o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">D'innombrables parents
d'élèves me confient leurs angoisses face à l'enseignement destructeur imposé à
leurs enfants. Cette éducation destructrice ne s'opère pas seulement à votre
insu : elle se déploie également en opposition à votre famille tout entière,
car la gauche hait les liens traditionnels, et elle hait par-dessus tout le
plus profond, le plus beau, le plus indispensable de tous : le lien parental et
filial. C'est donc à la fois contre votre enfant, contre vous, et contre les
relations qui vous unissent, qu'elle mène une lutte sans pitié. La classe
politique laisse faire. Pire : dans son immense majorité, elle applaudit et
elle encourage cet endoctrinement de ce que vous avez de plus cher, la prunelle
de vos yeux, la chair de votre chair, votre raison de vivre, de travailler et
d'espérer : vos enfants. En s'attaquant à leurs âmes, elle s'attaque aux
vôtres. <o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">Les deux architectes de
cette vaste démolition sont aujourd'hui Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron.
Le premier est pressé, il veut tout détruire. Le second est un peu plus
patient, il déconstruit. Mais les deux utilisent la même technique :
lobotomiser l'enfance française. La nomination de Pap Ndiaye au poste de
ministre de l'Éducation nationale en est une preuve terrible. Cet idéologue ne
fera aucune concession à vos idées, votre histoire personnelle et nationale. Il
va injecter à vos enfants une dose massive de délires gauchistes. Et ne croyez
pas que vous réussirez aisément à faire barrage à ce scandale : pendant leur
scolarité, les enfants passent bien plus de temps avec leurs professeurs
qu'avec leurs parents. Les dégâts psychologiques, culturels et anthropologiques
peuvent être irréparables. Vous ne pouvez pas laisser faire. Vous ne devez pas
laisser faire. Refusez en bloc, sans la moindre, négociation, sans jamais
reculer d'un pas, que votre descendance descende dans ces enfers. Si je suis
élu, ma première proposition de loi visera à interdire l'accès de nos écoles à
ces idéologues. <o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">Comment faire ? Comment
résister ? Comment se lever et tenir bon, face à ce tsunami de mensonges
déguisés en savoir ? Si je suis élu, ma première proposition de loi visera à
interdire l'accès de nos écoles à ces idéologues. Alors, votez pour la vérité.
Votez pour vous et pour vos enfants. Les 550 candidats de Reconquête sont les
seuls à livrer cette bataille en votre nom, dans cette campagne électorale, et
bientôt à l'Assemblée. Vous pouvez compter sur notre indépendance d'esprit,
notre insolence, notre colère et notre espérance, pour porter haut et fort votre
exigence de respect. Nous incarnerons votre combativité. Nous serons les
avocats de vos enfants. Nous monterons en première ligne, pendant les cinq
années de notre mandat, pour libérer vos fils et vos filles des griffes de la
gauche.</span><o:p></o:p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-40673794408162840892022-05-20T18:34:00.008+02:002022-05-20T18:34:58.313+02:00Durée des ministres de l'Éducation nationale<p style="text-align: center;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgd3X8gt90bfJbgQUEJT8hQxkYzhxLJdQSdHvYZg8JUs8pI4Csemv9lpriLIgb0IyoG3eiI8oDngxzhaeq0WjR5oeNgJd2uQjoVyjy-pEHThsB46yOba2EXJtP3BR6O_blmGra3sQpmt9TjZAZKvh3Rfj1fsz4le18_0QckE3T0rnFBUo-od0Wl8gB-Q/s886/10.gif" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="584" data-original-width="886" height="264" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgd3X8gt90bfJbgQUEJT8hQxkYzhxLJdQSdHvYZg8JUs8pI4Csemv9lpriLIgb0IyoG3eiI8oDngxzhaeq0WjR5oeNgJd2uQjoVyjy-pEHThsB46yOba2EXJtP3BR6O_blmGra3sQpmt9TjZAZKvh3Rfj1fsz4le18_0QckE3T0rnFBUo-od0Wl8gB-Q/w400-h264/10.gif" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: verdana; font-size: x-small;">Cliquer sur l'image pour l'agrandir.</span></div><br /> <p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-65639716825101725672022-05-04T15:53:00.002+02:002022-05-04T15:53:23.002+02:00Peut-on être anarchiste et de droite ?<p style="text-align: center;"> <iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/xxcNiE7yLxU" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-13001843755529534252022-04-13T18:16:00.002+02:002022-05-07T14:09:08.531+02:00À paraître : Questions théoriques et pratiques sur l'enseignement explicite<p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">À paraître en juin </span></p><p style="text-align: center;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZesSOrJbO0HByCZiWNpTJQ-YG5RYcegc2lFrzm8PLPsryrX1R8SM079IhPTbHz2EbAE6HFQBy-pm0xcgR6hPMivYRcRoy0-40AnmpPsIhshKYinFG4jbXFeLfqz8Kb5N82FEyCQH97yFoerVAk0_WKKlj15lsx-jZvYLbRE6-0UE1FoopNYYZJLsiyw/s1211/3.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1211" data-original-width="828" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZesSOrJbO0HByCZiWNpTJQ-YG5RYcegc2lFrzm8PLPsryrX1R8SM079IhPTbHz2EbAE6HFQBy-pm0xcgR6hPMivYRcRoy0-40AnmpPsIhshKYinFG4jbXFeLfqz8Kb5N82FEyCQH97yFoerVAk0_WKKlj15lsx-jZvYLbRE6-0UE1FoopNYYZJLsiyw/w438-h640/3.JPG" width="438" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3KSUQPWe9_sPQZuGUt6PFUDxQ8I-_sMAlkx8B2fiHr0uiQigpNiIIp170YTxyvBm0B70V7yXCobYcirAtFDx0ERL5-zMcFD5V6DWGmJC0fBITZPG0kZh_bfAbg8UR9JzFLcCvyQR6R7iedsRBoEYUZV_D1QFMJirhyus80OakVcHInXbxt_SGzVwesw/s841/8.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="841" data-original-width="543" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3KSUQPWe9_sPQZuGUt6PFUDxQ8I-_sMAlkx8B2fiHr0uiQigpNiIIp170YTxyvBm0B70V7yXCobYcirAtFDx0ERL5-zMcFD5V6DWGmJC0fBITZPG0kZh_bfAbg8UR9JzFLcCvyQR6R7iedsRBoEYUZV_D1QFMJirhyus80OakVcHInXbxt_SGzVwesw/w414-h640/8.jpg" width="414" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: verdana; font-size: medium;"><a href="https://flipbook.cantook.net/?d=%2F%2Fwww.entrepotnumerique.com%2Fflipbook%2Fpublications%2F123856.js&oid=7&c=&m=&l=fr&r=https://puq.ca&f=pdf" target="_blank">Feuilleter le livre.</a></span></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><span style="font-family: verdana;"><br /></span><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-59972410043724796952022-03-05T09:03:00.001+01:002022-03-05T09:03:05.585+01:00Broute : L'école libre<p style="text-align: center;"> <iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/4zjRuELND1I" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-47177402468890204992022-03-04T16:30:00.001+01:002022-03-04T16:30:02.751+01:00Logique pédagogiste<p style="text-align: center;"> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEifF9QEv4vEmSOcgYqPl7IfxbG1992zpwOdaDCphgx2EVSi82GyI6QKvFXGqAsOHo96i37VHhvtJHQ97biHzDLSaVeBUUZ0rNSURTh45JDN7R6H9rKKab31icczFFRA-3BmjBDg4feJk-oPBBGU3l7kctnQoc6o9ioLT1E9wzSs17vIuwhAXxs243TWhQ=s1671" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1671" data-original-width="1080" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEifF9QEv4vEmSOcgYqPl7IfxbG1992zpwOdaDCphgx2EVSi82GyI6QKvFXGqAsOHo96i37VHhvtJHQ97biHzDLSaVeBUUZ0rNSURTh45JDN7R6H9rKKab31icczFFRA-3BmjBDg4feJk-oPBBGU3l7kctnQoc6o9ioLT1E9wzSs17vIuwhAXxs243TWhQ=w414-h640" width="414" /></a></div><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-11495726961848216522022-02-10T09:00:00.005+01:002022-02-10T09:00:39.211+01:00Humour : le naufrage de l'enseignement<p style="text-align: center;"> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEicAHxwec267rnOqmVCfX4XdlM48l7zMg3c9zdcy68P9Ztj7aXJoScHL_-JIS4vE84NJ73EurzTXAZ4LfUQwBIdrZTzq9nPUpXC-S0niGtdjoZ47umm2fDfS6GyaD_uT_qPBOAzIaKPlaEIJDJp1YgOSJXNYL0piglKdJh_KACx-4dbLw6ynOP4iUCinQ=s960" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="960" data-original-width="613" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEicAHxwec267rnOqmVCfX4XdlM48l7zMg3c9zdcy68P9Ztj7aXJoScHL_-JIS4vE84NJ73EurzTXAZ4LfUQwBIdrZTzq9nPUpXC-S0niGtdjoZ47umm2fDfS6GyaD_uT_qPBOAzIaKPlaEIJDJp1YgOSJXNYL0piglKdJh_KACx-4dbLw6ynOP4iUCinQ=w408-h640" width="408" /></a></div><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-66901015598908291912022-01-12T09:16:00.003+01:002022-01-12T09:16:16.884+01:00Éric Zemmour : Propositions pour l'école<p><span style="font-family: verdana;"> Début de la thématique sur l'École à 38 minutes.</span></p><p><span style="font-family: verdana;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><iframe allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/rrX-FRLUB1s" title="YouTube video player" width="560"></iframe></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><br /></span></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-11354174927025584722022-01-11T09:21:00.004+01:002022-01-11T09:21:45.292+01:00Colloque contre le wokisme<p style="text-align: center;"> <iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/SjfTfnYDW1A" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-69228611190097736062022-01-11T09:00:00.003+01:002022-01-11T09:05:56.179+01:00École - Le programme d'Éric Zemmour<p style="text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj7UQdI-nyNg3fLNqU7_cxBH2Qd4hqPM7-b5kXCweXWL9JmobhNISt4_zTTeqWJeT712tFZh7XtZf_hzOI93U2eBOHFxZNFKHMxtd_fhSbwmxUzF6d0eNoCByZdQAVY_EqCuP8NU-N-DXXsRQkoAFyTtDdlAiKWuERHxbtgxss4pLC2pSvNj1n1AI3neA=s1603" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1603" data-original-width="1600" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj7UQdI-nyNg3fLNqU7_cxBH2Qd4hqPM7-b5kXCweXWL9JmobhNISt4_zTTeqWJeT712tFZh7XtZf_hzOI93U2eBOHFxZNFKHMxtd_fhSbwmxUzF6d0eNoCByZdQAVY_EqCuP8NU-N-DXXsRQkoAFyTtDdlAiKWuERHxbtgxss4pLC2pSvNj1n1AI3neA=w399-h400" width="399" /></a></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh5sLQI022x0wQd_LWuaQnUxvda-fOPEvT39Qgc3Juim5QrfJgIxTlO74W-iISudBHGRQvm7DKwhsXqHT9upuIvAgfySYbTN6FoYktNLB6E-wCUvWN6RUVg6CmnnRq-hSD5zT7JbGtDPJaVyDs21iUQbspdGU5pSYq9kmAjsdhFtx28s0kJOFLfDBiF8A=s1503" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1503" data-original-width="1500" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh5sLQI022x0wQd_LWuaQnUxvda-fOPEvT39Qgc3Juim5QrfJgIxTlO74W-iISudBHGRQvm7DKwhsXqHT9upuIvAgfySYbTN6FoYktNLB6E-wCUvWN6RUVg6CmnnRq-hSD5zT7JbGtDPJaVyDs21iUQbspdGU5pSYq9kmAjsdhFtx28s0kJOFLfDBiF8A=w399-h400" width="399" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgfJVKL3wWpksCeQZVpom-BhjliCdSACFX3xrZGqmhhVsTtFH2gOZDv-XG0rlSqJTgOy8ECDO_KnYz8u146guwnq0I1IIjHkrz8JvOqOb8a6nWDYfgE9DJQs5qLwZTBMm0eTt8cStNeRWTqJ84mWW0HTw-RgWNcKu9CHBT0PrjPbrkP8KpfqwM3Z35kQQ=s1600" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1600" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgfJVKL3wWpksCeQZVpom-BhjliCdSACFX3xrZGqmhhVsTtFH2gOZDv-XG0rlSqJTgOy8ECDO_KnYz8u146guwnq0I1IIjHkrz8JvOqOb8a6nWDYfgE9DJQs5qLwZTBMm0eTt8cStNeRWTqJ84mWW0HTw-RgWNcKu9CHBT0PrjPbrkP8KpfqwM3Z35kQQ=w400-h400" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj0AQsIdDqdCdkrKfMZy_F-5WDaQjVeRw1ue0oonWWz79xZ7NFrV2lU20iOlQFtk-VrITJVOdiNSa4Jg5l4sZEnMdFBVoQYh0f33lqDdi2YP0eoWWfd7DfiCdueTduLnDi7PaoLnsPiKT1tW1Hrs8Pe2jxbJtoAWd2KpfAwZMO6MhmiQcvIFnXPRnChKQ=s1600" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1574" data-original-width="1600" height="394" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj0AQsIdDqdCdkrKfMZy_F-5WDaQjVeRw1ue0oonWWz79xZ7NFrV2lU20iOlQFtk-VrITJVOdiNSa4Jg5l4sZEnMdFBVoQYh0f33lqDdi2YP0eoWWfd7DfiCdueTduLnDi7PaoLnsPiKT1tW1Hrs8Pe2jxbJtoAWd2KpfAwZMO6MhmiQcvIFnXPRnChKQ=w400-h394" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiHt3Z7PuXr1lidpk4vEcO5hDAmwnx-8Y7ypUQVmgQkWrOpn6VWm_1yDVipabhcPH8oBqQTW7gGghhVpK3fw6FcxgYuqFTZS-0OfaiDxUP-tHumrdBWHRGmG627XvdxWUF2A6m6v6nMsODk8pSsfJXsiiwYgukHZfvK05W3UFMasXRTT2rpIkrxryJX2w=s1600" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1600" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiHt3Z7PuXr1lidpk4vEcO5hDAmwnx-8Y7ypUQVmgQkWrOpn6VWm_1yDVipabhcPH8oBqQTW7gGghhVpK3fw6FcxgYuqFTZS-0OfaiDxUP-tHumrdBWHRGmG627XvdxWUF2A6m6v6nMsODk8pSsfJXsiiwYgukHZfvK05W3UFMasXRTT2rpIkrxryJX2w=w400-h400" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj-g3vZz8b8ZJAwOobQIH4PxPw4z-zfIIsuaAqemHtcldKxj__ZfLGHoG5iD4miyFbjeZAqjSZhrzqkMK89VjtSvAq9jU2ta8j_-VMRfPXQx2I_1TFQXFh5w7ruXKT1qUcfhsmqXMkFaaqb_X0u2F9UvmfA4ZWnFUEcgwZdAWgTsfwniG0BeHTKD9nNIA=s1600" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1600" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj-g3vZz8b8ZJAwOobQIH4PxPw4z-zfIIsuaAqemHtcldKxj__ZfLGHoG5iD4miyFbjeZAqjSZhrzqkMK89VjtSvAq9jU2ta8j_-VMRfPXQx2I_1TFQXFh5w7ruXKT1qUcfhsmqXMkFaaqb_X0u2F9UvmfA4ZWnFUEcgwZdAWgTsfwniG0BeHTKD9nNIA=w400-h400" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEguJOLm1kwS46XEmuE6vCN9zaYzwbFOzldcgpBV0HVwxx-2jrVvCaGKF_W4uSQkGaGi63ZBr3B-g96v-l1yBSD3_AOVRuHI_lc5jPHMfF31cV2yCYWIrsyb-9VnMxmrilukJWzUrlf6J9Pve7fzIU7GpqaiV696sXjJTW1Z0jb9Wt2kC-JlnwXK-4puDQ=s1600" style="margin-left: 1em; 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text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-33968972333335831332022-01-05T08:00:00.002+01:002022-01-11T09:22:02.186+01:00Wokisme : Pourquoi la “déconstruction” est devenue une impasse intellectuelle<p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-family: verdana;"> </span><span style="font-family: verdana; text-align: center;">Source : </span><i style="font-family: verdana; text-align: center;"><a href="https://www.lefigaro.fr/vox/societe/pourquoi-la-deconstruction-est-devenue-une-impasse-intellectuelle-20220103">Le
Figaro</a></i></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><o:p><span style="font-family: verdana;"> </span></o:p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEia-xPdha6i7anoeOyZwL8fTMfsVlsPN01h4I5pjIwfUSh67dyNyso7_stDwhPDCJzUH8H3V38yU2kHfLNU7ZW_L37ZrmYZE6vpS75m-nYCPTDvcM8ltZLRe294kymPWqWsgPwtgZAn3U-43fG3_K1MQ_zOT4lYnEPsNE6CxVV-Es5lCyvpoaY5oLrkcw=s704" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="396" data-original-width="704" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEia-xPdha6i7anoeOyZwL8fTMfsVlsPN01h4I5pjIwfUSh67dyNyso7_stDwhPDCJzUH8H3V38yU2kHfLNU7ZW_L37ZrmYZE6vpS75m-nYCPTDvcM8ltZLRe294kymPWqWsgPwtgZAn3U-43fG3_K1MQ_zOT4lYnEPsNE6CxVV-Es5lCyvpoaY5oLrkcw=w400-h225" width="400" /></a></span></div><p></p><p align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;"><br /></p>
<p align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><b>Propos recueillis par
Eugénie Bastié</b><o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><o:p><span style="font-family: verdana;"> </span></o:p></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">Un colloque <i>Après la
déconstruction : reconstruire les sciences et la culture</i> se tiendra le 7 et
8 janvier 2022 au Collège de philosophie de la Sorbonne, à Paris. Emmanuelle
Hénin et Pierre-Henri Tavoillot, coorganisateurs avec Xavier-Laurent Salvador,
expliquent les raisons de cette mobilisation inédite d’universitaires français
contre un mouvement “déconstructionniste”, dont le wokisme n’est qu’un aspect.</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><b><span style="font-family: verdana;">LE FIGARO. - Vous
organisez un colloque qui se tient à la Sorbonne le 7 et 8 janvier intitulé : <i>Après
la déconstruction : reconstruire les sciences et la culture</i>. Quel en est
l’objectif ?</span></b></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>Emmanuelle HÉNIN. -</b>
Il y a trois objectifs. Il s’agit d’abord de réunir des universitaires de
plusieurs disciplines et de plusieurs pays qui s’accordent à penser que la “déconstruction”,
dont le wokisme n’est qu’un des aspects, est devenue une impasse
intellectuelle. En effet, ce courant en vient, de plus en plus, à confondre la
recherche et le militantisme, la vérité et la morale, la science et
l’idéologie. Avec des conséquences graves sur l’enseignement et la recherche :
si nous ne faisons rien, nous nous exposons à voir des textes expurgés ou
censurés et, à moyen terme, des champs disciplinaires entiers remplacés par les
“études culturelles” transversales qui ne reposent pas sur un savoir validé
mais sur des préjugés militants. Ainsi, l’université de Princeton a récemment
supprimé le latin et le grec du cursus de lettres classiques au prétexte que
ces langues charrient des préjugés racistes et pour “ouvrir de nouvelles
perspectives”. C’est condamner cette discipline à péricliter rapidement.</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>Pierre-Henri
TAVOILLOT. -</b> Le deuxième objectif consiste donc à élaborer collectivement
une définition claire du “déconstructionnisme” parmi la diversité de courants
qui s’en réclament - de la pensée décoloniale à la théorie des genres en
passant par l’écoféminisme. Ces courants sont eux-mêmes en débat vigoureux et
leurs apports scientifiques ne sont pas tous négligeables. Notre hypothèse de
travail - qu’il faudra tester - est de considérer que le “déconstructionnisme”
ne voit le réel que comme lieu de domination et d’oppression : des femmes par
les hommes, du Sud par le Nord occidental, des “racisés” par les Blancs, de la
nature par la technique, etc. On comprend pourquoi, à partir de cette grille de
lecture, il est urgent de se “réveiller” (<i>woke</i>) et d’annuler (<i>cancel
culture</i>), même si, pour cela on doit prendre quelques libertés avec la
liberté – y compris académique – de ceux qui sont encore “endormis” !<o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">Le troisième et principal
objectif du colloque n’est pourtant pas de déconstruire la “déconstruction”,
mais de proposer des horizons de recherche plus constructifs. C’est notre
grande attente. Et c’est aussi pour cela que nous avons invité des
universitaires de disciplines et d’orientations très différentes. Tous d’accord
pour refuser un courant, qu’est-ce qui nous réunit pour envisager autre chose ?</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><b><span style="font-family: verdana;">Beaucoup
d’intellectuels de gauche voient dans la dénonciation du wokisme une “panique
morale” alimentée par les conservateurs. Que répondez-vous à cette objection ?</span></b></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>EH. -</b> Une réponse
toute simple : beaucoup de nos conférenciers invités se déclarent eux-mêmes de
gauche, mais sans doute d’une autre gauche, celle qui s’affirme républicaine et
universaliste.</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><b><span style="font-family: verdana;">Ne surestime-t-on pas
la puissance de ce mouvement woke ? L’université française ne résiste-t-elle
pas mieux que l’université américaine à ces dérives ?</span></b></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>EH. -</b> À la
différence des États-Unis et du Canada, la France a une tradition
universaliste. C’est pourquoi elle n’est pas contaminée par ce mouvement au
même titre que ces pays : nous n’avons pas encore de “<i>safe spaces</i>” ni de
“<i>sensitivity readers</i>”, même si certains en réclament. Cependant, depuis
deux ans, il ne se passe pas une journée sans qu’on reçoive des annonces de
conférences, de colloques ou de postes à pourvoir rédigées dans les termes de
cette idéologie. Il y a quelques semaines, un enseignant de Sciences Po
Grenoble, déjà cloué au pilori pour avoir émis des doutes quant à la pertinence
du concept d’islamophobie, a été suspendu quatre mois pour avoir critiqué le
climat d’intimidation qui règne dans cet IEP.<o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">En outre, la préparation
épique de ce colloque confirme nos craintes quant aux menaces pesant sur la
liberté académique: plusieurs collègues ont renoncé à regret à participer de
crainte de voir leur carrière ou celle de leur conjoint brisée ; d’autres se
sont désistés pour ménager leur réputation ; certains nous ont accusés de fomenter
un complot (pour des motifs tous plus farfelus les uns que les autres) ;
d’autres ont tenté de nous disqualifier sur les réseaux sociaux ou dans
Libération en brandissant l’éternel épouvantail de l’extrême droite, nous
accusant d’être “la honte de l’université” – injure gratuite aux cinquante
chercheurs de haut niveau et de tous horizons que nous avons réunis, parmi
lesquels Pierre Manent, Jacques Julliard, Nathalie Heinich, Pierre Vermeren et
bien d’autres. Enfin, des étudiants de toutes disciplines me confient leur
lassitude devant ces thématiques qui leur paraissent déjà rebattues : d’où
notre expression, « après la déconstruction ». Le “déconstructionnisme” est
déjà un conformisme, une marotte appelée à bientôt devenir ringarde…</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><b><span style="font-family: verdana;">Peut-on dire que la
pensée de la déconstruction est née en France ? Pouvez-vous retracer la
généalogie de cette pensée depuis le postmodernisme jusqu’au mouvement “woke” ?</span></b></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>PHT. -</b> Il y a en
fait trois âges de la “déconstruction”, dont les deux premiers sont des étapes
majeures. Le premier âge est l’âge critique qui correspond à la philosophie
moderne de Descartes à Kant : il a pour but de faire émerger une idée humaine
de la vérité à côté des dogmes religieux ou parfois contre eux. C’est l’objet
du doute cartésien ; c’est aussi la critique kantienne de la métaphysique. Avec
eux, comme le dit Tocqueville, « <i>quelques-uns des dogmes de l’ancienne foi
ont été soumis à la raison individuelle </i>». Le deuxième âge est celui où, à
partir de Schopenhauer et Nietzsche, émerge l’idée que le travail critique doit
se poursuivre à propos des idées humaines elles-mêmes. Il faut « <i>philosopher
avec le marteau</i> », dit Nietzsche, pour détruire les illusoires idoles
auxquelles l’homme aime croire : le vrai, le beau, le bon, le juste, le salut…
Pourquoi ? Parce que ces idées – ou idoles – sont des masques qui nous
empêchent de vivre pleinement (Nietzsche), qui occultent nos conflits
intérieurs (Freud), qui cachent des conflits économiques et sociaux (Marx) ou
nous éloignent de l’Être (Heidegger).<o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">Le troisième âge commence
avec la pensée 68 (Foucault, Derrida, etc.), que la France va exporter aux
États-Unis (<i>french theory</i>) avant d’en réimporter les rejetons actuels.
Avec lui, les choses se gâtent : la “déconstruction” ne vise plus qu’elle-même.
Sa cible : la civilisation démocratique “phallologocentrée”, comme dit Derrida,
qui, sous couvert d’émancipation, cacherait une oppression sournoise et
d’autant plus implacable. Pour la “déconstruction”, malgré la décolonisation,
toujours plus d’exploitation ; malgré le pseudo-féminisme, toujours le même
patriarcat ; malgré l’État-providence, toujours la même aliénation des miséreux
; sous l’apparence du développement durable, toujours plus de capitalisme
destructeur de la nature. Bref, le vieux mâle blanc producteur est un
polyprédateur qui opprime tout ce qui bouge : les femmes, la planète, les
migrants, les différences, les “racisés”, les cultures…</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>EH. -</b> Aujourd’hui,
on assiste même à un quatrième âge, correspondant à la “réification de la
déconstruction” (Pluckrose), dont l’esprit libertaire a accouché d’une police
de la pensée totalitaire. Le refus de toute catégorie et la prétendue “fluidité”
universelle ont engendré des catégories plus rigides que jamais, régies par un
catéchisme diversitaire et victimaire auquel les États, les tribunaux, les
entreprises et bien sûr l’école sont sommés de souscrire.</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>PHT. -</b> Face à une
telle lecture, il est assez aisé d’objecter que la civilisation européenne fut
la seule, de toute l’histoire de l’humanité, à abolir l’esclavage, à promouvoir
l’émancipation de la femme, à installer des dispositifs inédits de justice
sociale, à s’intéresser aux cultures autres, y compris celles des peuples “premiers”,
à prendre conscience à vive allure des défis environnementaux. Sans doute la
tâche est-elle loin d’être achevée, mais ce n’est certainement pas en
détruisant les principes qui ont permis ces acquis qu’on parviendra à avancer
dans ces tâches infinies.</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><b><span style="font-family: verdana;">Comment expliquer la
séduction qu’opèrent les théories de la race et du genre chez une nouvelle
génération de chercheurs militants ?</span></b></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>PHT. -</b> Il y a une
séduction quasi existentielle dans ces théories qui offrent tout ce qui manque
à nos sociétés contemporaines. On s’y sent perdu, seul, impuissant, sans but.
Si on s’y sent perdu, c’est que, face à la complexité du monde, on manque de
grilles de lecture. Le wokisme en fournit une universelle : tout est
domination. Il y a des gentilles victimes et des méchants oppresseurs : c’est
clair et net ! Si on s’y sent seul, c’est que l’individualisme a fragilisé les
sociabilités d’avant. Contre cela, l’indignation partagée reforge du collectif
et de l’identité : je souffre, donc je suis… et, comme disait Nietzsche pour le
dénoncer (il aurait d’ailleurs détesté le wokisme), si «<i> je souffre, quelqu’un
doit en être responsable</i> ». La mécanique du ressentiment est au cœur de ces
théories. Si on s’y sent impuissant, c’est que la démocratie nous avait promis
le pouvoir. Or, de toutes parts, je mesure mon incapacité. À l’inverse, par la
grâce du militantisme, je retrouve le goût de la lutte. Et, du même coup, un
sens substantiel pour ma vie guidée par un combat juste et salvateur. Par où
l’on voit que le défi à relever est immense : quelle autre vision du monde
pourra proposer tous ces bienfaits ?</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>EH. -</b> Cette grille
de lecture victimaire tend à s’étendre et à se ramifier, en découvrant sans
cesse de nouvelles identités correspondant à de nouvelles discriminations :
transphobie, grossophobie, handiphobie - non sans susciter des tensions entre
sous-groupes de “victimes” (par exemple les féministes universalistes et les
féministes intersectionnels, ou entre les homos et les trans). Et
paradoxalement, comme le montrent Helen Pluckrose et James Lindsay, le discours
militant n’offre aucun remède à la souffrance des personnes, qu’il enferme au
contraire dans des identités figées. Il interdit aux émigrés de s’intégrer à
leur pays d’accueil (comme en témoignera la journaliste Claire Koç au colloque)
ou aux personnes handicapées de se soigner, puisqu’elles sont alors suspectes
de succomber aux préjugés “validistes” (sic). Ces nouvelles luttes
idéologiques, à l’opposé des luttes sociales du XX<sup>e</sup> siècle,
constituent une fuite en avant contreproductive car elles suscitent la
fragmentation du corps social et nourrissent l’agressivité de tous les acteurs.</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><b><span style="font-family: verdana;">La deuxième partie du
colloque porte sur la reconstruction. Par quoi passe-t-elle selon vous ?</span></b></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>PHT. -</b> Le but du
colloque est d’ouvrir le débat ; pas de le clore. Les controverses - même vives
- doivent pouvoir avoir lieu sans que l’accusation morale ou la vindicte ne
prennent le pas, comme c’est aujourd’hui trop souvent le cas. L’université a
été le théâtre, ces derniers temps, de trop d’annulations de conférences pour
qu’on ne s’inquiète pas de la situation de la liberté de recherche, des
critiques et des pressions qui s’y exercent. On nous dit que l’idéologie a
toujours été présente à l’université, hier par le marxisme : certes, mais
celui-ci n’était pas endossé par les institutions comme c’est le cas
aujourd’hui du “déconstructionnisme”. Même si le gouvernement rejette et veut
combattre ces mouvements, on voit qu’il existe des potentats qui agissent en
toute impunité, sans aucun contrôle, appliquant par exemple l’écriture
inclusive en dépit des consignes du ministre. À partir du moment où le code de
l’éducation lui-même prévoit de favoriser une “société inclusive” (modification
introduite par Najat Vallaud-Belkacem), cela ouvre la voie, au nom d’une
intention louable, à toutes les dérives.</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>EH. -</b> La
reconstruction passe par le rappel des frontières entre la recherche et le
militantisme (récemment défendues par Nathalie Heinich), mais aussi par
l’insistance sur la transmission de savoirs et l’apprentissage de la rigueur
scientifique. Concrètement, lutter contre l’idéologie, c’est éduquer les
étudiants à faire usage de distance critique et de liberté d’esprit ; leur
apprendre à contextualiser les textes et les événements au lieu de plaquer sur
eux une grille uniforme d’interprétation ; enfin, les habituer à se confronter
à des idées différentes des leurs. En tant que chercheurs, nous savons que l’on
progresse en se remettant toujours en question et c’est cette inquiétude
fondamentale de la pensée que nous souhaitons préserver - en quelque sorte,
nous voulons sauver l’esprit critique face au dogme des études critiques.</span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><b><span style="font-family: verdana;">Comment lutter contre
la déconstruction à l’université sans être accusé de vouloir mettre en place un
contrôle du savoir par l’État ?</span></b></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;"><b>PHT. -</b> L’État n’a
pas à intervenir dans les débats d’idées ; mais il doit veiller à ce que les
pratiques universitaires demeurent conformes à la déontologie. C’est la raison
pour laquelle il nous paraît nécessaire de plaider aujourd’hui pour que soient
instituées, au sein des universités, en plus des missions “égalité” déployées
pour lutter contre les discriminations, des missions “liberté” veillant au
respect de la liberté académique. Cela pourrait être un moyen de rappeler que,
à l’université comme dans la République, l’égalité ne doit pas menacer la
liberté.<o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><br /></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-family: verdana;">*Emmanuelle Hénin est
professeur de littérature comparée à la Sorbonne. Pierre-Henri Tavoillot est
président du Collège de philosophie.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">Retrouvez le <a href="http://collegedephilosophie.blogspot.com/2021/12/colloque-apres-la-deconstruction.html">programme
du colloque</a> <o:p></o:p></span></p>
<p align="left" class="MsoNormal" style="text-align: left;"><o:p><span style="font-family: verdana;"> </span></o:p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-55273943729335656032021-11-30T09:18:00.001+01:002021-11-30T09:18:17.867+01:00La drôle de guerre<p><span style="font-family: verdana;">Comprendre la drôle de guerre que mène la France pour son
École.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Les soldats sont en première ligne. Ils subissent les tirs
croisés adverses. Peu ou pas équipés, mal approvisionnés, avec des munitions
inefficaces, respectant des tactiques surannées et discutables, ils font de
leur mieux et tiennent bon pour la plupart…</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Hormis quelques exceptions notables, les officiers sont à l’arrière.
Ils s’observent et papotent dans des réunions. Ils montent des projets pour se
faire mousser, peu importe si les résultats sont foireux. Ils s’intéressent
plus à leur carrière qu’aux victoires. C’est pourquoi ils n’hésitent pas à
tirer sur les soldats récalcitrants qui dénoncent l’incurie du système qu’ils “pilotent”.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Pour ma part, j’ai été un bon soldat et j’ai tenu ma
position pendant toute ma carrière. J’ai reçu une médaille (les Palmes) mais
personne n’a daigné me la remettre. Quand j’ai quitté le front (retraite),
aucun officier n’est venu me saluer. J’ai été simplement radié des cadres.</span></p>
<span style="font-family: verdana;">Voilà pourquoi la France est
en train de perdre la guerre pour son École.</span><div><span style="font-family: verdana;"><br /></span><div><span style="font-family: verdana;"><br /></span></div><div style="text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwgd0u3_UV0tI5F_t4RweRZlJiHhCQ_cA2Sz89Kl1BVxA3jpi-q6P6NzlujizEZrzibEIPEGh5rFUYfEl26z9zYqrNSmMlgzT3ocR37hQSVL3OI8QfPjpou-VuZ5UlXCzm7Sd7lxlkFFoN/s838/10.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="632" data-original-width="838" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwgd0u3_UV0tI5F_t4RweRZlJiHhCQ_cA2Sz89Kl1BVxA3jpi-q6P6NzlujizEZrzibEIPEGh5rFUYfEl26z9zYqrNSmMlgzT3ocR37hQSVL3OI8QfPjpou-VuZ5UlXCzm7Sd7lxlkFFoN/w400-h301/10.jpg" width="400" /></a></div><br /><span style="font-family: verdana;"><br /></span></div></div>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-17332280647218811332021-11-22T08:57:00.001+01:002021-11-22T08:57:00.336+01:00« L'élève doit-il apprendre par lui-même ou doit-il être instruit ? »<p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small;"> <a href="https://www.lefigaro.fr/vox/societe/l-eleve-doit-il-apprendre-par-lui-meme-ou-doit-il-etre-enseigne-20211119" style="text-align: center;"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">Le
Figaro Vox</span></a></span></p>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0Llnr3Bmsw9GeTrYLpYYrteLWtkJjd-2WjkVgRXnkOSnaZXQTY_QHsCXy5v1ntI_zVSnq06Mm-eAKS8w5syqONnhyphenhyphenH-qnjOb6UpGc4amxM1pnWfsnz_SAd-LeQyO7XbGiftdE_d4XG8kd/s1168/10.PNG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="709" data-original-width="1168" height="243" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0Llnr3Bmsw9GeTrYLpYYrteLWtkJjd-2WjkVgRXnkOSnaZXQTY_QHsCXy5v1ntI_zVSnq06Mm-eAKS8w5syqONnhyphenhyphenH-qnjOb6UpGc4amxM1pnWfsnz_SAd-LeQyO7XbGiftdE_d4XG8kd/w400-h243/10.PNG" width="400" /></a></div><br /><p align="center" class="MsoNormal" style="mso-outline-level: 1; text-align: center;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">Par <b>Matthieu Lahaye</b>, spécialiste des
questions de l'enseignement</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">Alors
que sont publiés cette semaine les résultats aux évaluations nationales,
Matthieu Layahe analyse deux visions pédagogiques qui s'affrontent en France.
En opposition aux méthodes de la découverte, il défend le savoir-faire de l'enseignant.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">Cet
été, l'opinion publique australienne s'est passionnée pour la pédagogie, en
l'occurrence pour le débat qui oppose les partisans de la pédagogie par
investigation et ceux de la pédagogie explicite, encore appelée pédagogie
systématique. Dans un article scientifique repris par la presse nationale, John
Sweller, professeur émérite en psychologie, établit un lien très étroit entre
la baisse continue des résultats des élèves australiens aux évaluations
internationales et l'introduction des pédagogies de la découverte depuis une
trentaine d'années. Ce débat résonne en France, pays confronté à un niveau
problématique de la performance de ses élèves et où les pédagogies par
investigation sont encore très courantes.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">Élaborées
dans les années 60, ces pédagogies reposent à la fois sur un constat pertinent,
les humains sont les seuls animaux capables de résoudre des problèmes complexes
et une conclusion pédagogique discutable : apprendre consiste à confronter les
jeunes élèves à des problèmes compliqués et à tâtons, avec l'aide du
professeur, à les laisser découvrir une méthode pour les résoudre. Si
d'innombrables études ont montré que l'efficacité des méthodes pédagogiques
dépend de l'objectif d'apprentissage et du niveau de maîtrise des élèves, il
est désormais clairement établi que pour apprendre une notion nouvelle,
particulièrement pour les jeunes élèves et ceux issus des milieux socialement
les plus défavorisés, les méthodes explicites sont les plus pertinentes.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">À la
différence de l'enseignement de la découverte (l'élève découvre et il fait),
l'enseignement explicite repose sur une démarche contrôlée par le professeur
(le professeur montre et l'élève fait). Conçu par des praticiens au cours des
années 1980 à partir des découvertes de psychologie cognitive et perfectionné
grâce à des « données probantes », il se déploie en trois temps modulables en
fonction des besoins des élèves : d'abord l'explication par le professeur de la
notion divisée en autant de notions simples avec le souci constant de lever
tous les implicites, ensuite des interactions nombreuses entre le professeur et
les élèves, entre les élèves grâce à des exercices guidés qui permettent de
vérifier la bonne compréhension de la notion étudiée et enfin une phase de
consolidation à la faveur d'un travail en autonomie, des devoirs et des
évaluations. L'objectif est d'automatiser la maîtrise des compétences de base
pour permettre à l'élève de consacrer toute son attention à des tâches plus
complexes.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">En
France, ces pédagogies de la découverte, qui ont un intérêt pour développer le
sens de l'investigation chez les élèves aux connaissances déjà solides, sont
encore utilisées sous des formes diverses pour des apprentissages fondamentaux.
Grâce à la clarification commencée par le ministère de l'Éducation nationale
depuis quatre ans sur l'enseignement de la lecture, des mathématiques,
notamment la résolution de problème, elles refluent peu à peu, mais trop
lentement.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">Considérons
seulement que la résolution de problèmes n'était plus systématiquement
enseignée à l'école primaire au motif que l'élève, pour apprendre, devait
chercher laissant ainsi les élèves se débrouiller avec la complexité d'énoncés
à jamais impénétrables pour les élèves les plus fragiles. Les conséquences sont
connues : une école qui a dû mal à lutter contre les inégalités scolaires, la
scandaleuse dernière place des élèves français en résolution de problème à
l'évaluation Timss, le faible niveau en mathématiques de la population active
et sa désastreuse conséquence sur le taux d'emploi et la compétitivité du pays.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">En
matière d'éducation, il est facile d'agiter de grandes idées qui sont souvent
des slogans creux. Agir réellement, comme le font les professeurs chaque jour
dans les classes, nécessite une expertise fine qui ne s'acquiert pas en
claquant des doigts.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">La
pédagogie explicite recentre l'école sur l'essentiel : le savoir-faire du
professeur. S'il est démontré depuis les années 1960 que l'origine sociale pèse
sur les résultats des élèves, de très grandes études américaines, menées à
partir des années 1990, prouvent que l'action du professeur a une influence
plus importante que la sociologie sur les performances scolaires dès lors que
la méthode utilisée est efficace. La pédagogie n'est ni un syncrétisme ni un
occultisme. C'est pourquoi la création d'un conseil scientifique de l'éducation
nationale en 2017 a été si importante pour débarrasser nos débats pédagogiques
des ombres de la subjectivité et les renforcer à la lumière de la science.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="fr" style="font-family: "Verdana",sans-serif;">En
matière d'éducation, il est facile d'agiter de grandes idées qui sont souvent
des slogans creux. Agir réellement, comme le font les professeurs chaque jour
dans les classes, nécessite une expertise fine qui ne s'acquiert pas en
claquant des doigts. La dynamique enclenchée, qui a su mieux faire réussir les
élèves des autres pays, peut en moins de dix ans d'action résolue hisser notre
école au niveau des systèmes éducatifs les plus performants, nous permettant
ainsi de rester une grande nation culturelle, une puissance économique de
premier plan et d'honorer la promesse républicaine d'égalité.<o:p></o:p></span></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-21229582387699258482021-11-15T16:12:00.002+01:002021-11-15T16:13:04.442+01:00Livre : OK millennials !<p style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"> </span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: verdana;"><a href="https://www.amazon.fr/dp/B08TZ7HKJS/ref=as_sl_pc_tf_til?tag=formapex-21&linkCode=w00&linkId=d4e56c71e547450854ac4720a7ffc961&creativeASIN=B08TZ7HKJS" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;" target="_blank"><img border="0" data-original-height="790" data-original-width="509" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmmc8ImIMmk0LRcRT4AmlkscKgzevko7A2cCNvyZVLXv-f73NJLz99EnHm7dBZRAY2IjFj5gv-DwfmfLtnScVRYhMGOEWAyHgHFstbhVvF10muyjI30CIQm3DIp-Kx9_n_UKJ9mRCyF50y/s320/5.png" width="206" /></a><br /><span style="font-size: x-small;"><a href="https://www.amazon.fr/dp/B08TZ7HKJS/ref=as_sl_pc_tf_til?tag=formapex-21&linkCode=w00&linkId=d4e56c71e547450854ac4720a7ffc961&creativeASIN=B08TZ7HKJS" target="_blank">Acheter le livre</a></span></span></div><span style="font-family: verdana;"><br /></span><p></p><h2 style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">OK Millennials !</span></h2><p>
</p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">Puritanisme, victimisation, identitarisme,
censure...L'enquête d'un « baby boomer » sur les mythes de la génération woke<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><o:p><span style="font-family: verdana;"> </span></o:p><b style="font-family: verdana; text-align: center;">Brice Couturier</b></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">Éditions de l’Observatoire, 336 p, 09.2021</span></p>
<p class="MsoNormal"><o:p><span style="font-family: verdana;"> </span></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><u>Résumé</u><o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Une révolution culturelle est en marche. Elle ne vient pas
de Chine, mais des États-Unis. Et elle est tout aussi dévastatrice. Les «
guerriers de la justice sociale » sont nos nouveaux gardes rouges.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">L’Oréal proscrit les termes « blanc » et « blanchissement »
de ses catalogues, Evian présente ses excuses pour avoir fait sa promotion en
plein ramadan, Lego annule ses publicités représentant des policiers en
solidarité avec Black Lives Matter… Qui peut encore prétendre que le woke
demeure un folklore pour campus nord-américains ? Une révolution culturelle est
en marche. Elle est née dans les départements de women’s studies, black
studies, queer studies des prestigieuses universités américaines. Elle a donné
lieu à une « politique des identités » qui impose une radicalisation néfaste au
Parti démocrate. Elle a pris la place du vieux fond protestant en déclin.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">En polarisant la société selon des clivages ethniques, elle
menace les États-Unis d’une guerre civile. Avons-nous vraiment envie d’importer
dans notre République laïque cette manière de dresser les Noirs contre les
Blancs, les femmes contre les hommes, les homosexuels contre les hétéros… ?</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">En baby-boomer défendant les idéaux universalistes et
émancipateurs des sixties, Brice Couturier interpelle la génération des
millennials : votre hyper-susceptibilité, votre narcissisme victimaire vous
poussent à censurer et à interdire. Notre génération a voulu élargir le champ
des possibles. Vous êtes en train de le rétrécir. À notre détriment à tous…</span></p><br /><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-46776915097646954632021-11-01T14:22:00.001+01:002021-11-01T14:24:38.678+01:00Sauvetage du site Form@PEx<p><span style="font-family: verdana;">Depuis quelques jours, l’hébergement de Form@PEx n’ayant pas
été renouvelé, le site n’était plus en ligne. Comme la somme nécessaire pour ce
renouvellement n’avait pas pu être recueillie jusque-là, je pensais tout était fini…</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;"><o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">Mais c’était sans compter sur le concepteur du site, LSG
Conseil, qui a pris l’initiative d’un renouvellement pour une courte durée afin
que les données du site ne soit pas effacées des disques durs de l’hébergeur OVH.
Ce qui va assez vite, paraît-il, après le terme de l'échéance. Le tout donc dans l’urgence, sans prendre le temps de me consulter. D’où
la remise en ligne du site ce matin même, et ma surprise de le voir
réapparaître sur la Toile.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: verdana;">De ce fait, tous ceux et toutes celles qui n’avaient pas
pensé à faire un don pour soutenir Form@PEx à temps peuvent à nouveau avoir
accès au module Paypal.<o:p></o:p></span></p>
<span style="font-family: verdana;">Le sauvetage est donc en cours…</span><div><span style="font-family: verdana;"><br /></span><div><span style="font-family: verdana;"><br /></span></div><div style="text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiloVDU7iEVAW5YoB04IM_bUQjpEqsh9j8y61VOOR6pFp8ZE2F7pirynoLtb1BSzToUxBKR9xFjKRLrd1m8RJe9SKypc5eDbFeHG5E3lEZCocI9yFcX1Dvf9nASqjSYm4CZpeeAU2BGsHFo/s600/1.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="285" data-original-width="600" height="190" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiloVDU7iEVAW5YoB04IM_bUQjpEqsh9j8y61VOOR6pFp8ZE2F7pirynoLtb1BSzToUxBKR9xFjKRLrd1m8RJe9SKypc5eDbFeHG5E3lEZCocI9yFcX1Dvf9nASqjSYm4CZpeeAU2BGsHFo/w400-h190/1.jpg" width="400" /></a></div><br /><span style="font-family: verdana;"><br /></span></div></div>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-90310428579377823512021-11-01T11:50:00.005+01:002021-11-01T11:56:58.000+01:00Fin de Form@PEx<p style="text-align: center;">
</p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgs6qOqghi5RtuLaQFLUeQDPCT3PZCQ257P7CtbALqOn7xDCwXk6l5bIq3YXrUoMsmUVR_xbxwsHin-EeZ0qJoOC-0iWo9f8hzaGdjDyIuE6MlAe9RlQ0hwkoaaAbj0aV2bJvTz1fTU-V_q/s813/2.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="519" data-original-width="813" height="255" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgs6qOqghi5RtuLaQFLUeQDPCT3PZCQ257P7CtbALqOn7xDCwXk6l5bIq3YXrUoMsmUVR_xbxwsHin-EeZ0qJoOC-0iWo9f8hzaGdjDyIuE6MlAe9RlQ0hwkoaaAbj0aV2bJvTz1fTU-V_q/w400-h255/2.png" width="400" /></a></div><br /><div style="text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">Merci à tous ceux et à toutes celles qui, bien plus nombreux que nous le pensions, nous ont adressé des messages exprimant leur sympathie et leur affection, reconnaissant ainsi la valeur du travail que nous avons mené durant toutes ces années. Cela nous a fait chaud au cœur...</span></div> <script async="" charset="utf-8" src="https://platform.twitter.com/widgets.js"></script><p></p>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1004475546304233210.post-43136113066735527192021-06-17T18:46:00.006+02:002021-11-01T11:44:40.622+01:00Nouvelle publication<h3 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial;"> </span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><div style="text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBJax3-_Zh3bThs7UWFWuC9eoeYoiRLOc8cpzRIVehxSwW9TWR0aplA0McCp62rqpluqyy47Ay3p43a4uEVZca6yLuIcFBEzaNNk_BfMqiXBVHQlVgHb6w2ePWByYDmZgml-HKrukHxcOp/s548/7.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="548" data-original-width="423" height="460" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBJax3-_Zh3bThs7UWFWuC9eoeYoiRLOc8cpzRIVehxSwW9TWR0aplA0McCp62rqpluqyy47Ay3p43a4uEVZca6yLuIcFBEzaNNk_BfMqiXBVHQlVgHb6w2ePWByYDmZgml-HKrukHxcOp/w355-h460/7.jpg" width="355" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><h3><span style="font-family: arial;"><a href="https://flipbook.cantook.net/?d=%2F%2Fwww.entrepotnumerique.com%2Fflipbook%2Fpublications%2F121237.js&oid=7&c=&m=&l=fr&r=https://puq.ca&f=pdf" target="_blank">Pour feuilleter le livre</a></span></h3></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: verdana;">Voilà un livre qui ne cite jamais Form@PEx et qui ne parle pas de notre contribution essentielle pour vulgariser et faire connaître l'Enseignement Explicite en France et dans le monde francophone depuis 2006 ! </span></div><br /><span style="font-family: arial;"><br /></span></div>Bernard Appyhttp://www.blogger.com/profile/03161390980639960917noreply@blogger.com0